Voici les trois principaux éléments discutés lors de la dernière réunion des directeurs de l'APLA tenue le 27 mars dernier au Centre Roger-Cabana.
Dans un rapport de 51 pages, l'écologiste Patrick Émond fait un lien entre la déforestation autour du lac et l'augmentation des mauvaises herbes aquatiques. 70 % de l'eau du lac Achigan provient des forêts et des zones humides. L'effet de la déforestation est l'augmentation de la boue dans le lac et la diminution de l'oxygène dans l'eau. Il faut s'assurer que les nouvelles constructions dans la ville de Saint-Hippolyte respectent le ratio de déforestation.
L'inventaire des plantes aquatiques du lac est complété. Une séance de formation sera offerte aux résidents afin qu'ils puissent en apprendre davantage sur les plantes nuisibles et utiles.
L’adhésion à l’APLA restera gratuite. Les contributions volontaires et les dons sont acceptés.
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